Les Replays des EMPR 2024
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Prise en charge à la phase chronique des personnes victimes d'AVC
Coordonné par :
- J. Froger (Nîmes),
- X. de Boissezon (Toulouse),
- A. Vallat (Montpellier),
- M. Delorme (Nîmes)
Au-delà de 6 mois après un AVC, il persiste souvent des conséquences motrices et cognitives mais aussi psychologiques et sociales importantes. Sur l’impulsion des récentes recommandations HAS et des perspectives ouvertes par les progrès technologiques ou les nouvelles organisations de réseaux de soins (SMR, HAD-MPR…), il nous a paru important d’aborder la prise en charge des patients victimes d’AVC à la phase chronique, en abordant le rôle essentiel de l’interprofessionnalité afin de réduire les déficiences, limitations d’activités et restrictions de participation.
- Conséquences des accidents vasculaires cérébraux en phase chronique : déterminants et évolution. A. Schnitzler (Paris)
- Première recommandations HAS sur la rééducation à la phase chronique après un AVC : apports et questions en suspens. M. Compagnat (Limoges)
- Plasticité cérébrale, les déterminants des apprentissages en phase chronique après un AVC. E. Allart (Lille)
- Nouvelles technologies pour favoriser la récupération du membre supérieur après un AVC à la phase chronique. T. Lejeune (Bruxelles) et S. Dehem (Bruxelles)
- Favoriser la reprise d’activité physique après un AVC. J. Di Marco (Lyon)
- Quelle place pour la prise en soin orthophonique des aphasiques en phase chronique ? L. Cuvigny et E. Guillouet (Toulouse)
- Télé-rééducation des troubles cognitifs après un AVC à la phase chronique. B. Glize et M. Carlsberg (Bordeaux)
- La méthode Cognitive. Orientation to daily Occupational Performance chez la personne post AVC en phase chronique : entraînement à la résolution de problèmes pour faciliter la participation aux activités du quotidien. S. Téchené (Toulouse)
- HAD MPR, un nouveau modèle pour limiter les conséquences de l’AVC en phase chronique. C. Debarle (Le Bourget)
- Les structures médico-sociales pour aider à construire un nouveau projet de vie. H. Fortis (Nîmes), M. Delcey (Montpellier)
- La reprise de la conduite automobile ou les alternatives en cas d’échec. M. Lumeau (Ploemeur)
- Comment accompagner la reprise du travail ? W. Daveluy (Lille)
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Amputés : le jour d'après. Quel devenir après le centre de rééducation ?
Coordonné par :
- E. Lapeyre (Paris - Percy),
- S. Petiot (Nîmes),
- A. Brunon (Nîmes),
- E. Pantera (Le-Grau-du-Roi),
- L. Gaffino (Montpellier, Lamalou-les-Bains),
- A. Marsick (Paris),
- I. Guerrero (Montpellier)
Dans les suites d'une amputation, quelle qu'en soit l'étiologie, le retour à domicile après un séjour souvent prolongé en centre de rééducation est une étape importante où les patients se retrouvent confrontés au monde réel et souvent non adapté au handicap avec un corps qui a changé. Le retour à la vie familiale, sociale, professionnelle et la récupération d'une autonomie au quotidien sont parsemés de nouvelles difficultés qui n'ont pas toujours pu être abordées ou solutionnées au cours de l'hospitalisation et dont la découverte est parfois douloureuse. Peut-on anticiper ces questions ? Quels sont les moyens d'accompagner au mieux cette transition ? Quels sont les outils à notre disposition ? Qu'en pensent nos patients ? Voilà les principaux aspects qui seront abordés au cours de cette journée.
- Que sait-on du devenir des patients amputés ? A. Brunon-Martinez (Nîmes)
- Préparation du retour à domicile : intérêt de la prise en charge pluridisciplinaire. NM. Barki et C. Razafindramboa (Le Grau-du-Roi)
- Discussion
- L'accompagnement psychologique du patient amputé. S. Olivier (Lamalou-les-Bains)
- Sexualité et amputation. M. Baccigalupo (Montpellier)
- Place de l'Éducation Thérapeutique du Patient dans la préparation de la sortie du patient. M. Timsit-Bonnet (Aubagne)
- Discussion
- Adaptation du matériel et évolution en milieu humide et aquatique. M. Jouvet (Montpellier)
- Evolution des prothèses vers l’esthétique. A. Desquibes (Brive-la-Gaillarde)
- La collaboration entre l'ergothérapeute et l'orthoprothésiste au service du projet sportif de loisir du patient amputé. G. Ciantar et B. Hulin (Lamalou-les-Bains)
- Financement et évolution de la demande en prothèse. T. Morat-Viguier (Lamalou-les-Bains)
- Discussion
- Accompagnement pour le retour en milieu professionnel : le système COMETE. C. Verollet (Montpellier)
- Indemnisation frais futurs. A. Leszczynski (Aix-en-Provence)
- Avec ADEPA, l’entraide entre pairs du centre de rééducation au retour à la maison. I. Guerrero (Montpellier) et A. Marsick (Paris)
- Place du centre d’expertise. I. Loiret (Nancy)
- Discussion
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Rachis et Expertise médicale
Coordonné par :
- E. Baccino (Montpellier),
- F. Coroian (Montpellier),
- N. Lonjon (Montpellier)
L’évaluation du dommage corporel à la suite d’un traumatisme réel ou allégué du rachis s’avère est souvent complexe surtout en présence d’un état antérieur, voire d’un simple état anatomique lié au vieillissement. Les conflits et contestations d’expertises, pour ce qui est de l’imputabilité, sont fréquents dans l’exercice du dommage corporel.
Cette session abordera des notions d’anatomie, d’imagerie médicale, des notions cliniques et juridiques nécessaires pour évaluer l’imputabilité médicale du dommage corporel à un fait accidentel et pour qualifier et quantifier les préjudices subis par une victime.
Le rôle des différents intervenants - médecin expert, médecin conseil de la victime, avocat, magistrat ainsi que la place de la jurisprudence seront également présentés à travers des communications et des discussions de dossiers pratiques.- Anatomie fonctionnelle et examen clinique du rachis. A. Dupeyron (Nîmes)
- Imagerie médicale : apport dans l’évaluation de l’état antérieur et de l’imputabilité en expertise en droit commun et en responsabilité médicale. C. Cyteval (Montpellier)
- Prise en charge médicale du patient lombalgique : recommandations. F. Bailly (Paris)
- Cervicalgies post-traumatiques. F. Coroian (Montpellier)
- Diagnostic et décision thérapeutique : Intérêt d’un staff multidisciplinaire. I. Tavares (Montpellier)
- Traitement chirurgical de la lombosciatalgie chronique : indications, techniques, non indications. W. Haynes (Montpellier)
- Chirurgie du rachis et expertise en responsabilité médicale. N. Lonjon (Montpellier)
- Discussion contradictoire en cours d’expertise appliquée au rachis. E. Baccino (Montpellier)
- Apport du médecin conseil des victimes dans l’évaluation du dommage corporel. P. Donnou (Brest)
- Lombalgie chronique et expertise en Sécurité Sociale. D. Mariel (Montpellier)
- Indemnisations du préjudice corporel suite à un traumatisme du rachis. C. Hussar (Clermont-Ferrand)
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Stretch reflex
Coordonné par :
- M. Julia (Montpellier),
- S. Perrey (Montpellier),
- A. Dupeyron (Nîmes)
Le Stretch Reflex (ou réflexe myotatique) est mis en jeu dans de nombreuses activités sportives et de la vie quotidienne. Lors d'une perte d'équilibre, l'intervention du Stretch Reflex permet un ajustement du tonus des muscles extenseurs et fléchisseurs, et un ré équilibrage de la position. Dans le cadre de la performance sportive, ce Stretch Reflex est primordial lors des sollicitations pliométriques mais également pour la prévention des lésions ligamentaires et musculo-tendineuses.
Cette thématique abordera plusieurs questions autour du stretch Reflex. Quels sont les structures et circuits nerveux impliqués dans l’intervention du réflexe d’étirement ? Comment étudier l’activité de ces réflexes spinaux ? Quels sont leurs fonctions ? Comment la contraction musculaire d’intensité variable module les réponses réflexes dites « protectrices » ? Quelles sont les spécificités des muscles extenseurs des membres inférieurs ou encore de ceux du tronc concernant les activités de ces réflexes ? …- Les réflexes spinaux : physiologie des composantes du réflexe d’étirement. A. Martin (Dijon)
- Explorations en laboratoire et en clinique du réflexe d’étirement. D. Gasq (Toulouse)
- La sensibilité du réflexe d’étirement lors de contractions musculaires répétées. C. Nicol (Aix-en-Provence/Marseille)
- Stretch réflexe lombaire : un réflexe conditionnel. A. Dupeyron (Nîmes)
- Cervistab : un outil d’exploration du réflexe d’étirement du rachis cervical. M. Julia (Montpellier)
- Kick test : un outil d’exploration du réflexe d’étirement du genou et de l’épaule. L. Sellin et G. Dusfour (Montpellier)
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Actualités sur l'instabilité de cheville
Coordonné par :
- V. Casamenti,
- A. Ribaut,
- F. Feuvrier,
- M. Julia (Montpellier),
- E. Coudeyre (Clermont-Ferrand)
L’entorse de cheville est la pathologie la plus fréquente en traumatologie de l’appareil locomoteur. Chaque jour, environ 6 000 personnes en France consultent pour une entorse de la cheville. Certaines entorses ont tendance à récidiver et peuvent évoluer vers une instabilité chronique. Cette session propose une mise au point sur l’instabilité chronique, et abordera les facteurs anatomiques ou lésionnels favorisant le passage à la chronicité, l’apport des techniques d’imagerie dans le diagnostic et la prise en charge, la place du podologue et de la rééducation. Nous débattrons enfin de la prise en charge médico-chirurgicale, toujours siège de controverse.
- Anatomie et biomécanique de l’articulation talocrurale et sous-talienne. D. Bonneau (Nîmes)
- Bilan d’imagerie de l’instabilité de cheville. Y. Thouvenin (Montpellier)
- Actualités dans la prise en charge médicale de l'entorse à l'instabilité de cheville. S. Ambry (Bordeaux)
- Actualités dans la prise en charge chirurgicale : indications et technique. L. Dagneaux (Montpellier)
- Critères pour le retour au sport. Démonstration pratique : le bilan « Ankle Go ». B. Picot (Grenoble)
- Prise en charge rééducative. M. Larbaigt (Cap Breton)
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10e Forum des Pratiques Professionnelles Accès direct et exercice coordonné en MPR
En partenariat avec le CNP de MPR
Coordonné par :
- P. Marque (Toulouse)
- J-P. Devailly (Paris)
- A. Gelis (Montpellier)
- P. Calmels (Saint-Etienne)
Délégation d’acte, protocole de coopération sanitaire, accès direct au soins… Au fil des réformes du système de santé, la coopération entre les professionnels de santé évolue, se structure mais pose à chaque fois les questions de la qualification des intervenants et de leur coordination pour garantir une pérenne efficacité vis à vis de la qualité et de la sécurité des soins. Cette journée sera l’occasion de faire un point d’étape sur ces dispositifs et d’échanger avec les professionnels de la réadaptation avec lesquels nous collaborons déjà autour du patient.
- Quels modèles organisationnels à l’étranger ? Y. Bourgueil (Paris)
- La réingénierie des métiers de la santé, comment et pourquoi faire ? I. Richard (Rennes)
- Le point de vue du médecin généraliste. A. Giannotti (Paris) et T. Combes (Gaillac)
- Le masseur kinésithérapeute de demain : rôle clé dans les soins primaires ? E. Panchout (Blois)
- Nouveaux modes d’exercice en kinésithérapie : comparaisons internationales. A. Demont (Aix-en-Provence)
- Accès direct et prescription des aides techniques par les ergothérapeutes : quels enjeux, quelles limites ? F. Soum-Pouyalet (Paris) et F. Nouvel (Nîmes)
- Accès direct et médecine spécialisée. Impact sur la MPR. J-P. Devailly (Paris)
- Protocole de coopération : état des lieux. A. Levallois Brahic (Montpellier)
- Quel niveau de coordination pour l’exercice sans prescription en activité libérale ? F. Doury-Panchout (Blois)
- Les CPTS, un nouveau terrain d’exercice pour les MPR ? Expérience de la CPTS de Tarbes Adour. M. Labrunee (Tarbes)
- Délégation de prescription des VHP en SMR neurologique adulte : expérience du protocole de coopération du centre de Lay Saint Christophe, IRR Nancy. N. Khalil et A. Rémy (Nancy)
- Coopération de soins paramédicaux / médecins : un pour tous, tous pour un ! S. Robineau (Saint-Hélier)
- Les difficultés d’élaboration d’un protocole de coopération. P. Marque (Toulouse)
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Rééducation périnéale et continence urinaire : où en est-on ?
Coordonné par :
- G. Robain (Paris),
- S. Billecocq (Paris),
- M. Cornillet-Bernard (Evry),
- E Galano (Nîmes),
- B. Carra (Montpellier)
Cette session est destinée aux médecins de MPR et aux rééducateurs qui sont confrontés à la prise en charge des troubles de continence urinaire. La journée abordera plusieurs points : bases anatomophysiologiques et d'examen clinique du patient / indications et limites de la rééducation périnéale dans l'incontinence urinaire féminime, ainsi que les téchniques validées / spécificités en pathologie neurologique / focus sur la personne âgée / éducation à la santé pelvienne.
- Indications et non indications de rééducation pelvipérinéale dans l’incontinence urinaire féminine : regards croisés du MPR et du gynécologue. G. Maury-Vago et J. Salerno (Montpellier)
- Aspect éthique de la réalisation des touchers pelviens en rééducation. G. Robain (Paris)
- Spécificités de la rééducation périnéale en pathologie neurologique. E. Cerutti (Besançon)
- Techniques cognitivo-comportementales en rééducation périnéale. B. Steenstrup (Rouen)
- Focus sur la personne âgée. G. Robain (Paris)
- Éducation à la santé pelvienne : quelle hygiène de vie et activités physiques préconiser en cas d’incontinence urinaire ? A-C. Fourdraine (Crépy-en-Valois)
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Parasport pour tous, quel accompagnement ?
Coordonné par :
- O. Lopez (Montpellier),
- I. Loiret (Nancy)
Le parasport définit la pratique sportive des personnes en situation de handicap, sous toutes ses formes : en loisir ou en compétition, en club ou en famille !
Autrement dit, le terme « parasport » ne désigne pas seulement les sportifs paralympiques ou en situation de handicap de haut niveau !
Aujourd'hui, cette pratique tend à se répandre et intéresse nos patients, à tout âge. Des freins sont encore présents, et notamment le manque d'informations sur les possibilités de pratique.
Tous les intervenants du parcours de vie et de soins doivent avoir des notions sur le parasport, connaître quelques acteurs du territoire pouvant accompagner les patients dans leur accès à la pratique, avoir conscience des obstacles mais aussi des leviers à activer pour faciliter cette pratique. Cette journée ne sera bien sûr pas exhaustive sur la thématique.
Elle aura pour but de présenter certaines spécificités liées à l’accès à la pratique parasportive, la place des différents professionnels dans le projet sportif, de son éclosion à son aboutissement.
Elle abordera enfin des éléments en rapport avec des publics très représentés dans la population parasportive (personnes amputées et blessées médullaires).
Elle sera aussi l’occasion d’échanger sur nos pratiques dans le domaine et de présenter des cas concrets de mise à l’activité parasportive.
Enfin, quelques notions relatives au parasport compétition seront abordées et notamment la classification.- Parasport et particularités de l’enfant en situation de handicap. F. Cambon et G. Metzler (Palavas-les-Flots)
- Aller vers le parasport : parcours de vie et place des différents professionnels de rééducation. B. Boronat, L. Barassin, Q. Wolff et M. Mahieu (Garches)
- Parasport : quelles disciplines pour quels patients ? O. Lopez (Montpellier)
- Quelles solutions pour lever les obstacles à l'accès et au maintien de la pratique parasportive ? A. Vedrenne (Toulouse)
- Appareillage sportif : singularités de développement et réglementation. I. Loiret (Nancy), V. Premaud (Toulouse) et O. Lopez (Montpellier)
- Parasport et blessés médullaires. M. Gahier, M. Dauty, M. Lefort et B. Perrouin-Verbe (Nantes)
- Présentations - retours d'expériences de thématique parasportive - Identification de points métaboliques à l'exercice chez des patients blessés médullaires avant réadaptation - Étude de faisabilité - G. Helmer (Montpellier)
- Présentations - retours d'expériences de thématique parasportive - L'ergothérapeute au service du sportif : de la collaboration avec le para-athlète de haut niveau amputé ou assimilé amputé, à l'amélioration de sa performance. D. Jozwicki (Tourcoing)
- Parasport et classification. A. Lacampagne et Y. Le Carrer (Paris) et O. Lopez (Montpellier)
- Parasportifs de haut niveau : suivi médical réglementaire et suivi du handicap. C. Delpouve (Bois-Guillaume) et F. Rusakiewicz (Paris)
- Parasport et haut niveau : les messages clés. V. Detaille, V. Thoreau et A-S. Douguet (Ploemeur)
- Questions et Conclusion
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Les troubles neurologiques fonctionnels
Coordonné par :
- B. Garcin (Paris),
- I. Tavares (Montpellier),
- A. Homs (Nîmes)
Qui ne s’est jamais retrouvé en difficulté devant un patient qui manifestement présentait des symptômes sans « lésion anatomique » objectivable ? Les troubles neurologiques fonctionnels sont fréquemment rencontrés dans notre pratique et globalement plutôt négligés par les somaticiens. Autrefois appelés conversion hystérique ou encore troubles somatoformes, des critères diagnostiques plus précis ont été établis. Leur physiopathologie, illustrant particulièrement les interrelations physiques et psychiques, est également mieux comprise.
Au cours de cette journée, nous ferons également le point sur les propositions thérapeutiques pluriprofessionnelles de leur prise en charge, afin de permettre d’expliquer au patient sa problématique et de mieux le guider dans son parcours de soin. La place de la rééducation dans ce dernier sera discutée et exposée au travers de partages d’expérience.- Accueil : mot d’introduction. I. Tavares (Montpellier)
- Introduction : De quoi parle-t-on ? Cadre nosologique. C. Hingray (Nancy) et D. Ertan (Tain-l'Hermitage)
- La douleur nociplastique. F. Bailly (Paris)
- Troubles cognitifs fonctionnels. C. Joly et B. Garcin (Paris)
- Le syndrome de fatigue chronique : réentraînement à l’effort ou écoute de la fatigue ? B. Ranque (Paris)
- L’explication diagnostique : ce qu’il faut dire et ce qu’il ne faut pas dire. B. Garcin (Paris)
- Présentation des recommandations de prise en charge. G. Carle (Toulouse)
- Partage d’expérience de prise en charge en hospitalisation ambulatoire. A. Gharib, F. Christot et J. Labourré (Lyon)
- Partage d’expérience de prise en charge en MPR pour adolescents et jeunes adultes. B. Margo et P. Durand (Rennes)
- Place du kinésithérapeute dans la prise en charge. G. Rauline (Paris)
- La stimulation cérébrale non invasive dans les douleurs nociplastiques et les troubles neurologiques fonctionnels. R. Gonon Demoulian (Montpellier) et B. Garcin (Bobigny)
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Prescription médicale et Médecine Thermale
Coordonné par : C. Hérisson (Montpellier) en partenariat avec la SFMTh et le CNP de Médecine Thermale
L’intervention médicale est aujourd’hui un élément incontournable de toute cure thermale s’adressant aux patients atteints de maladie chronique, depuis la décision d’effectuer la cure jusqu’à son suivi. Ce colloque propose un état des lieux de la situation et ouvre la réflexion sur l’avenir : qu’en sera-t-il demain ? avec les délégations de compétences, les démarches interprofessionnelles, la diversification des pratiques et le développement en station thermale de soins de bien être s’adressant à un tout autre public. Il concerne en premier lieu le corps médical mais aussi tous les professionnels de santé ou d’encadrement impliqués dans le Thermalisme.
- Introduction. C. Hérisson (Montpellier)
- La rédaction de la demande de cure : questionnaire de prise en charge. S. Creyssels et C. Hérisson (Montpellier)
- A quels patients proposer une cure thermale ? A. Garcia (Perpignan)
- Quelles places pour les techniques rééducatives et kinésithérapiques ? C. Cowan (Dax)
- Nouvelles indications du Thermalisme, la cure un lieu de réhabilitation ? Y-J. Bignon (Clermont-Ferrand)
- Quels patients doit-on envoyer de façon prioritaire en station thermale ? - en Rhumatologie. I. Tavares (Montpellier)
- Quels patients doit-on envoyer de façon prioritaire en station thermale ? - en Phlébologie P. Carpentier (Grenoble)
- Quels patients doit-on envoyer de façon prioritaire en station thermale ? - en Neurologie F. Feuvrier (Montpellier)
- Table ronde. Y-J. Bignon (Clermont-Ferrand), G. Kanny (Nancy), O. Dubois (Saujon), P. Carpentier (Grenoble), A. Yelnik (Paris), M. Duprat (Dax), C. Hérisson (Montpellier)
- Le guide des bonnes pratiques thermales : un référentiel indispensable. G. Kanny (Nancy) et P. Jeambrun (Paris)
- Le suivi médical de la cure : consultation initiale, critères et rythme de surveillance, bilan de fin de cure. Y. Bertin (Vichy)
- Place éventuelle de la téléconsultation ? M. Duprat (Dax)
- L’outil Thermassist : une aide pour la prescription des soins thermaux. T. Ellin et K. Dubourg (Dax)
- Les choix des techniques et l’établissement du programme de soins : - en Rhumatologie. H. Desfour (Balaruc-les-Bains)
- Les choix des techniques et l’établissement du programme de soins : - en Phlébologie. M. Duprat (Dax)
- Les choix des techniques et l’établissement du programme de soins : - en Neurologie. C. Vaugeois (Ussat)
- Qu’en est-il des soins non remboursés par l’Assurance Maladie ? A. Garcia (Perpignan)
- Conclusion - Synthèse
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Ecrans et apprentissages
Coordonné par :
- O. Revol (Lyon),
- C. Jourdan (Montpellier)
Les professionnels de l’enfance sont confrontés chaque jour à des questions liées à l’exposition croissante des enfants aux écrans. Doit-on en limiter strictement l’utilisation ? Les écrans pourraient-ils au contraire être bénéfiques ? Leurs effets dépendent-ils de la durée d’utilisation, du type d’usage, de l’âge de l’enfant, de son environnement ? Comment conseiller les parents ? Pour répondre à ces questions, nous croiserons les points de vue des cliniciens, rééducateurs, chercheurs et pédagogues pour mettre en perspective les expériences cliniques et les données scientifiques récentes. La matinée sera consacrée à l’impact des écrans sur le développement cognitif et affectif de l’enfant et de l’adolescent. L’après-midi proposera un état des lieux sur l’utilisation des outils numériques pour soigner, rééduquer et favoriser les apprentissages.
- Etat des lieux de l'utilisation des écrans par les enfants. C. Jourdan (Montpellier)
- Impact sur le développement du langage de l’enfant. L. Batilly-Gonin (Paris)
- Impact sur le développement cognitif de l’enfant. P. Meyer (Montpellier)
- Etat des lieux des impacts du jeu vidéo sur le développement cognitif de l’enfant et de l’adolescent. S. Erhel (Rennes) et C. Gonthier (Nantes)
- Risques psychiques et recommandations pour les parents. N. Franc et D. Purper-Ouakil (Montpellier)
- Ecrans chez l’adolescent : dépendance, comportements excessifs et problématiques. D. Courbet et M-P. Fourquet-Courbet (Marseille)
- Utilisation des outils numériques dans les « dys ». A. Rayon (Montpellier)
- Outils numériques et prise en charge du TDAH. S. Bioulac (Grenoble)
- Place des écrans tactiles chez le jeune enfant autiste. R. Pry (Montpellier)
- Utilisation thérapeutique des écrans. L’exemple du refus scolaire anxieux. F. Kochman (Loos-lez-Lille)
- Numérique et scolarité. Quelles fonctions pédagogiques bénéficient du numérique ? A. Tricot (Montpellier)
- Education nationale : expériences et stratégie numérique à l’école. S. Caliaros (Montpellier)
- Conclusion et synthèse. O. Revol (Lyon) et C. Jourdan (Montpellier)
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Anatomie Fonctionnelle : le membre supérieur
Coordonné par :
- D. Bonneau (Avignon),
- A. Dupeyron (Nîmes)
Les leçons d'anatomie fonctionnelle des EMPR ont pour but de rappeler l'importance de nos connaissances anatomiques pour mieux comprendre la fonction et pouvoir appréhender la dysfonction. En partant de présentations didactiques sur l'anatomie du membre supérieur, nous discuterons de principes biomécaniques comme physiologiques et nous reverrons les indications et interprétation des principales imageries pour aboutir à une dimension fonctionnelle utiles aux décisions de traitements souvent complexe qu'ils rééducatif ou chirurgicaux.
- Anatomie compréhensive du membre thoracique ou supérieur. D. Bonneau (Avignon)
- Pathologie (mécanique) du membre supérieur. A. Dupeyron (Nîmes)
- Chirurgie du membre supérieur. B. Coulet (Montpellier)
- Imagerie du membre supérieur. A. Sellami (Nîmes)
- Anatomie descriptive du membre supérieur et pathologies : défilé thoraco-brachial, canal carpien, conflit sous-acromial, epicondylalgia D. Bonneau (Avignon)
- Membre supérieur en rhumatologie. Y-M. Pers (Montpellier)
- Kinésithérapie du membre supérieur. R. Dolin (Montpellier)
- Thérapeutique manuelle du membre supérieur. D. Bonneau (Avignon)
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Place de la toxine botulique dans la prise en charge de la personne lésée médullaire
Coordonné par :
- J-G. Previnaire (Berck-sur-Mer),
- H-Y Bonnin-Koang (Montpellier),
- M. Le Fort (Nantes),
- A. Gélis (Montpellier)
La toxine botulique est un traitement de plus en plus utilisé dans la prise en charge des personnes lésées médullaires. Le praticien accompagnant le patient se trouve souvent confronté à une réflexion sur la balance bénéfice-risque et une coordination des injections avec d'autres spécialistes. Les objectifs de cette journée sont de faire un point sur l'état de l'art et des recommandations dans les différentes indications chez la personne présentant une lésion médullaire complète ou incomplète (vessie, sphincter, spasticité, douleur neurologique), de décrire et échanger sur les indications atypiques, et enfin de discuter des risques et organisation pratique des injections multi-sites. ainsi que des thérapeutiques adjuvantes.
- Spasticité des membres inférieurs dans la lésion médullaire complète : place de la toxine botulique, gestion des épines irritatives et positionnement. H-Y. Bonnin (Montpellier)
- Le membre inférieur du para/tétraplégique incomplet marchant, place de l’AQM et stratégie médico-chirurgicale. R. Gross (Nantes)
- Le membre supérieur du tétraplégique : gestion de la spasticité au sein d’une stratégie complexe. M. Le Fort (Nantes)
- Discussion
- Toxine et membre supérieur chez le tétraplégique : point de vue de l’ergothérapeute. M. Belleil et A. Heurtin (Nantes)
- Intérêt de la kinésithérapie associée à la toxine botulique. C. Cuenot (Berck)
- Discussion
- La vessie neurologique : stratégie d’injection, quelle efficacité, les nouvelles AMM, devenir à long terme et échappement. M-A. Perrouin-Verbe (Nantes)
- Le sphincter neurologique : dyssynergie vésico-striée, sondages intermittents, hyperréflexie autonome (HRA). J-G. Prévinaire (Berck)
- Discussion
- Douleur neuropathique et toxine chez le blessé médullaire. E. Viel (Montpellier - Nîmes)
- Les indications atypiques : revue de la littérature. A. Gélis (Montpellier) et J-G. Prévinaire (Berck)